Description
Il existe deux sortes de jeux : les jeux finis et les jeux infinis. Les jeux finis sont disputés par des joueurs désignés. Ils ont des règles fixes. Et il existe un objectif convenu qui, lorsqu'il est atteint, met fin au jeu. Le football, par exemple, est un jeu fini. Les jeux infinis, au contraire, n'ont pas de règles précises ou admises. Il peut exister des conventions ou des lois gouvernant le comportement des joueurs, mais ces derniers peuvent agir à leur guise à l'intérieur de ces frontières larges.
Le jeu de l'économie répond à la définition même d'un jeu infini. Pourtant, à écouter le langage de tant de leaders actuels, on dirait qu'ils ne savent pas quel jeu ils disputent. "L'emporter sur les concurrents" est pour eux une obsession. Sauf que, dans les jeux sans ligne d'arrivée, tout cela est impossible. Diriger dans un esprit de fini en situation de jeu infini engendre toutes sortes de problèmes, dont le plus courant est le déclin de la confiance, de la coopération et de l'innovation. Diriger dans un esprit d'infini, au contraire, nous fait avancer dans une meilleure direction. Les groupes qui adoptent un tel esprit bénéficient de niveaux de confiance, de coopération et d'innovation bien plus élevés.
Plus percutant que jamais, Simon Sinek livre avec Le jeu infini un ouvrage inspirant qui va bouleverser votre vision du management et du monde de l'entreprise ; une invitation à insuffler un état d'esprit nouveau autour de vous, à être un leader, pas uniquement pour aujourd'hui, mais pour demain... et le jour d'après.